Miranda and The Beat est un groupe de Rock and Roll, avec tout ce que ce terme peut impliquer.

S’inspirant de la musique rock traditionnelle, telle qu’elle a été jouée par des artistes comme The Dirtbombs, The B-52’s, MC5 et Ronnie Spector, Miranda and The Beat opère à partir d’une appréciation lucide des grands et d’un mépris sain et brûlant pour les tropes ou les limites traditionalistes.

Garage, soul, punk, classic rock… choisissez votre poison, le groupe en a à revendre.
Arrivé à New York en 2018, le groupe s’est révélé, par ses compositions et ses performances, être à la fois une étincelle essentielle et le fer de lance d’une scène de rockers au sang neuf apportant un renouveau d’énergie bien nécessaire à la scène new-yorkaise (garage, rock, quoi que ce soit).

A l’origine, le duo était composé de Miranda Zipse, guitariste/chanteuse de 21 ans, et de Kim “The Beat” Sollecito, batteuse de 21 ans. Le duo s’est rapidement adjoint les services de Kate Gutwald à la basse et de Dylan Fernadez à l’orgue, et s’est rapidement fait connaître pour ses concerts infatigables et enflammés, portés par la présence captivante de Miranda sur scène, ses prouesses vocales et son jeu de guitare pyrotechnique (mais jamais indulgent !) et mélodique.

Leur réputation sur scène (et leur réputation de n’être ni des poulets ni des salauds) les a amenés à collaborer avec des idoles d’enfance comme The Mystery Lights et Nick Zinner des Yeah Yeah Yeahs. Bientôt, le single Such A Fool sort sur le label Third Man Records de Jack White et le groupe entame une longue tournée nord-américaine en première partie de The King Khan and BBQ show.

Une pandémie plus tard, entre les jours et les nuits passés à transpirer de la pisse, du vinaigre et des tonnes de larmes en studio, et un programme de répétitions rigoureux, à la limite du ridicule, Miranda and The Beat sont, à ce stade, pratiquement monstrueux en termes de son et de vision, et prêts à rencontrer le monde.