THE BLUE BUTTER POT

Ne vous fiez pas au Blue de leur nom. Ces possédés ne jouent pas que la musique du diable, même si on la retrouve en grille d’accords ou en esprit sur bon nombre de leurs titres.

A la question des influences communes, Ray et Oliv citent Led Zeppelin. L’image cabossée de ce vieux briscard de Seasick Steve plane aussi sur eux. Et Jack White est invoqué pour son côté seventies et son amour du son brut.
L’inspiration, comme le nom du groupe, sont de l’ordre du spontané.

Le duo compose en studio en jammant. Pareil pour les paroles, au risque de déprimer les angoissés de la page blanche.
« Je note tout dans un carnet. J’ai des bouts de phrases plein les poches. Cette fois, elles ont été écrites sur la musique,puis on a construit une histoire. »

Ce nouvel album est mixé et masterisé par Jim Diamond (The White Stripes, The Dirtbombs, The Legendary Tigerman, etc.), qui a compris ce que veut le duo : un son punchy, flirtant avec le rouge.